Le blog de Miss Gégé

Bruges avec ses quelques 117 000 habitants est la plus grande ville de la province de Flandre-Occidentale. Depuis l’an 2000, elle est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Elle est appelée «Venise du Nord» car elle possède de nombreux canaux qui encerclent ou traversent la ville et sur les bords du centre ville desquels se trouve encore des restes de forteresse ainsi que des moulins.

La Grand-Place (Grote Markt) avec son beffroi.

Ce dernier est un des monuments les plus remarquables de la ville. Construit entre les 13^ème et 16^ème siècles, il offre une vue magnifique de la ville si on a le courage de monter ses 366 marches. Son carillon est un des plus célèbre d’Europe.

Le Burg :

Cette place regroupe la Basilique du Saint-Sang, l’Hôtel de Ville et l’Ancien palais de Justice.

La Basilique compose d'une crypte romane du 12^ème siècle, de la chapelle St.-Basile, au rez-de-chaussée, et d'une chapelle de style gothique datant de 1480, la basilique proprement dite, à l'étage.

L’Eglise Notre-Dame (13^ème – 15^ème siècles) :

Rare église à posséder une tour de briques aussi haute (122 mètres), elle abrite une sculpture de la Vierge Marie avec son enfant de Michel-Ange, la seule à ne pas être en Italie.

Le Béguinage :

Les béguinages étaient des communautés autonomes de religieuses, appelées les béguines, en Europe du nord, au Moyen Âge, dont les bâtiments intégrés comprennent non seulement les installations domestiques et monastiques, mais aussi des ateliers utilisés par la communauté. Les bâtiments sont souvent construits autour d'une cour arborée. Le Béguinage de Bruges est désormais habité par les Bénédictines.

Le Minnwater et ses cygnes :

Une légende raconte qu’un fidèle amant enterra sa promise et déversa les eaux pour former un lac « le Lac D’amour » au-dessus de sa tombe.

Les statues

En flânant dans la ville, on découvre de nombreuses statues et fontaines très originales parfois.

Le Palais Gruuthuse du 15^ème sicèle qui accueille le musée du même nom, qui propose une riche collection d’arts décoratifs : meubles, sculptures, instruments de musique, …

Le place de 't Zand avec le Concertgebouw (salle de spectacles)

L’hôpital Saint-Jean de Bruges date du 12^ème siècle. Autrefois, des religieuses y accueillaient et y soignaient des pèlerins et des malades car il occupait une situation stratégique en bord de canal. Son ancienne église abrite aujourd'hui le musée Memling qui renferme six chefs-d'oeuvre de Hans Memling, l'un des Primitifs flamands les plus renommés.

Les chocolats :

Les rues sont remplies de chocolateries toutes les plus inventives sur les goûts, les formes, …

A 2h30 de Paris en Thalys, il faut un grand week-end pour faire le tour de la ville tranquillement à pieds, visiter un ou deux musées, goûter à la « Brugze Zot » bière de la ville, faire une ballade sur les canaux, manger des frites, des gaufres et du chocolat, aller voir la mer sans oublier de faire quelques achats de dentelles ou tapisseries.

Les années 20 avaient rugi, les années 30 devaient swinguer !John Whittaker, jeune Anglais de bonne famille, tombe fou amoureux de Larita, aventurière américaine et sexy. Il l'épouse sur le champ et la ramène dans le manoir de ses parents. Si Mr Whittaker n'est pas insensible au charme de sa belle-fille, l'allergie est instantanée chez Mrs Whittaker qui déroule un vaste champ de mines aux pieds de Larita. Celle-ci comprend vite qu'elle doit riposter si elle ne veut pas perdre John. La guerre des piques commence, les étincelles fusent, jusqu'au jour où le passé secret de Larita est révélé à tous. Elle décide alors de frapper un dernier grand coup.

La bande annonce m’avait intrigué et le film m’a légèrement déçue. Comme souvent les meilleures scènes sont dans la bande annonce et il y a peu de surprises dans le reste du film.

Tiré de la pièce de Noel Coward, le film est une succession de dialogues percutants, de gags réussis et répliques cinglantes qui critique de l'hypocrisie des mœurs britanniques.

Kristin Scott Thomas est la caricature parfaite de la belle-mère horrible qui veut en faire baver sa belle-fille toujours suivie par ses deux filles un peu nunuches qui participent à toutes les chasses sur le terrain familial dans l’espoir de trouver une bonne âme pour les épouser.

A l’opposé, le père Colin Firth est en retrait et observe de loin toute cette superficialité mondaine en comparaison du conflit mondial qui a court.

Tous les personnages sont incarnés à la perfection, les deux actrices principales bien sûr, mais aussi les seconds rôles avec une mention spéciale à Kris Marshall, le majordome complice.

L’Amérique possède tous les éléments pour faire mythe : un récit fondateur, un peuple élu, ses prophètes, ses illusions, ses désenchantements.

Un mythe qui est devenu aussi un rêve, le rêve américain, ce rêve nourri de fantasmes et de clichés, suscitant à la fois fascination et répulsion, tenant en éveil l'imaginaire depuis deux siècles.

Par le prisme du roman policier, qui fouille dans les profondeurs et les recoins les plus sombres de l’Amérique, les Chroniques du bord de scène reviennent sur les lieux d’un crime…

Avec cette nouvelle chronique, vous ferez une traversée de cette culture urbaine pour interroger la dernière usine à rêves qui libère à la chaîne des aspirations contradictoires. Les Chroniques sont un processus de création singulier, sur le temps d’une saison, réunissant, autour d’un projet initié par Nicolas Bigards, le metteur en scène, une équipe artistique, les permanents du théâtre et le public.

Tout se passe sur scène, le public y suit les acteurs. J’ai beaucoup aimé ce principe d’être au coeur du spectacle. Tout en étant spectateur on est mêlé à l’histoire, on vit les différentes histoires.

Dépêchez vous ça s’arrête le 21 juin, c’est original et pas cher !

Tarif plein 10€ - Tarif réduit 5€

Plus d’infos : ici

MC 93 – 1, bd Lénine - 93000 Bobigny

Métro Bobigny Pablo Picasso (ligne 5)

Parking gratuit et surveillé

Une antique confrérie secrète parmi les plus puissantes de l'Histoire, les "Illuminati", qui s'était juré autrefois d'anéantir l'Eglise catholique, est de retour. Cette fois, elle est sur le point de parvenir à son but : Robert Langdon, expert en religions d'Harvard, en a la certitude.
Langdon a peu de temps pour comprendre ce qui se trame contre le Vatican et déjouer ces nouveaux crimes. Une course contre la montre et contre les tueurs qui démarre tel un jeu de piste : des églises romaines aux cryptes enfouies, des catacombes les plus profondes aux majestueuses cathédrales...
Pour l'aider à comprendre toutes ces énigmes, Langdon va rencontrer Vittoria Vetra, une scientifique aussi belle que mystérieuse.
Cette fois, il sait à qui il se confronte. Cette enquête diabolique est un piège, chaque secret est une clé, chaque révélation un danger...

J'avais dévoré le livre et j'ai adoré le film. Le livre était plus historique, le film est un thriller. Seule la partie se déroulant autour de l'intrigue du Vatican a été conservée et heureusement car le film dure plus de 2 heures. On ne voit pas le temps passé on est totalement pris dans l'intrigue. Les décors sont sublimes, le résultat est d'autant plus bluffant que le Vatican a interdit tout tournage sur place. Les acteurs Tom Hanks et Ewan McGregor sont géniaux.

Après avoir intégré le programme militaire " Weapon X " qui transforme les mutants en armes vivantes, Wolverine n'a de cesse de retrouver ceux qui ont tué son père et la femme qu'il a aimée.

Très bon film d'action avec de bons effets spéciaux, on entre dans l'histoire dès les premières secondes. On découvre le passé de Logan. Hugh Jackman est excellent, on voit qu'il prend son rôle à coeur. Les fans des X-men ne seront pas déçus. A quand la suite? 2010 avec Wolverine II.

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La plus grande odyssée spatiale de tous les temps voit le jour dans le nouveau Star Trek, mettant en scène le premier voyage d'un tout nouvel équipage à bord de l'U.S.S. Enterprise, le vaisseau spatial le plus sophistiqué de l'histoire.
Dans ce périple semé de dangers, d'action et d'humour, les nouvelles recrues doivent tout faire pour empêcher le plan diabolique d'un être maléfique menaçant l'humanité toute entière dans sa quête de vengeance.
Le sort de la galaxie est entre les mains de deux officiers que tout oppose : d'un côté, James Kirk, originaire de la rurale IOWA, tête brulée en quête de sensations fortes, de l'autre, Spock, issu d'une société basée sur la logique et rejetant toute forme d'émotion. Quand l'instinct fougueux rencontre la raison pure, une improbable mais puissante alliance se forme et sera seule en mesure de faire traverser à l'équipage d'effroyables dangers, là où personne n'est encore jamais allé.

Une non-initiée comme moi de la série a bien aimé malgré quelques incohérences: une poursuite sur la planète de glace par une énorme araignée, les retrouvailles surprises de Spok et un Kirk un peu niais.

A voir si vous voulez "tout" découvrir sur la genèse de Star Trek.

Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, est l’espion français considéré par ses supérieurs comme le meilleur de sa profession.En cette année 1967, il est envoyé en mission à Rio de Janeiro, à la recherche d’un ancien dignitaire nazi réfugié en Amérique du sud après la guerre. Les péripéties de son enquête vont l’amener à traverser le Brésil, de Rio à Brasilia en passant par les chutes d’Iguaçu, accompagné d’une charmante espionne du Mossad, elle aussi à la recherche du nazi. L’homme a du charme, la jeune femme aussi, et, sur fond de bossa-nova, ils vont alterner aventure et histoire d’amour.

Hubert ? Non, il n’a pas changé. Toujours macho, géopolitiquement inculte, raciste (après les arabes du premier film, au tour des juifs et des chinois de trinquer), ignorant (il rêve un jour de réconcilier les juifs et les nazis), Hubert est en complet décalage. On l'attendait, le revoilà, en mieux (ou en pire, ça dépend!). On le retrouve à Rio, à la recherche d'un nazi qui aurait en sa possession une cassette compromettante sur les anciens collabos français. Mais hélas pour OSS, il doit faire équipe avec le Mossad israélien et surtout avec l'agent Dolorès, peu intéressée par ses charmes. Hubert fait toujours autant de blagues douteuses, il a toujours ce rire étrange mais nouveauté, il a peur du vide !

En reprenant les bases du premier film une vraie réussite : du rétro, une satire des premiers James Bond et surtout un Jean Dujardin en agent stupide mais sûr de lui, le réalisateur prend du recul par rapport aux premières aventures pour nous emmener une dizaine d’années plus tard à la fin des années 60. On assiste à un véritable festival de blagues et situations loufoques. Le comique de répétition est parfois un peu trop « répété ».

La prestation de Jean Dujardin est vraiment réussie ; il participe grandement au succès du film.

Jean-Gabriel, marié et père de trois enfants, vit de petits boulots et passe son temps au bar PMU du coin. Un jour, pour faire plaisir à sa fille, il promet un peu vite à toute la famille de les emmener en vacances au ski. Seul problème : cette fois-ci, s'il ne tient pas sa promesse, sa femme le quitte. Il va devoir faire preuve d'une imagination sans limite pour y parvenir...

Quelques clichés à dépasser « les gens de Haute-Savoie sont des ploucs racistes mais qui ne demandent qu'à être changés », « le ski est un sport de blancs », ...

On se prend rapidement d’affection pour cette famille et surtout pour Jean-Gabriel qui ne renonce pas pour tenir sa promesse et faire plaisir à ses enfants.

Ca rappelle un peu « Rasta rockett » avec son équipe jamaïcaine qui tord le cou aux idées reçues en participant à l'épreuve de bobsleigh aux jeux olympiques d'hiver.

Les chutes de ski rappellent des souvenirs pas si lointains pour moi !

J'ai passé un excellent moment de rigolade. Très bon film à voir en famille dont on sort souriant et détendu.

Depuis qu'elle a six ans, quelqu'un a toujours essayé de tuer Jennsen. Aujourd'hui, elle en a vingt, et il vient juste de la trouver.

Enfin libre de faire tout ce qu'il souhaite, Oba part à la rencontre du destin dont il se croit investi, guidé par une voix et des pulsions sorties du plus profond des ténèbres.

Leur lutte pour le salut de leurs démons intérieurs et la réparation d'une ancienne injustice prennent des dimensions terrifiantes... pour tout le monde.

Personnellement, je n’ai pas du tout accroché. C’est le moins bon tome à mon avis jusqu’à présent.

On découvre de nouveaux personnages Jennsen et Oba la demie-sœur et le demi-frère de Richard mais point de richard, Kahlan et Cara avant les toutes dernières pages, dommage !

Ce tome nous dévoile des informations sur la magie, les différents mondes, le palais des inquisitrices mais après 700 pages on est toujours au même point qu'à la fin du tome 6 ...

Une fin bâclée à mon goût ; en quelques pages on aboutit à une conclusion peu probable. Richard, Kahlan et Cara tombent miraculeusement sur Friederich, Tom débarque tranquillement en chariot avec la chèvre Betty (qu’on croyait d’ailleurs transformée en saucisse !) alors que Jennsen, Sebastian, Soeur Perdita et Richard ont du escalader pendant pas mal de temps une espèce de gros amas de rochers pour arriver aux Piliers ...

Jennsen, quant à elle en quelques minutes, comprend tout et retourne sa veste pour s’en remettre à la protection de Richard alors que pendant tout le bouquin elle l’a haï et ne rêvait que de le tuer.

Je vais me dépêcher de me plonger dans le Tome 8 – L’empire des vaincus. D’après quelques sources, c’est un des meilleurs.

Lorsque Julien Foucault, maître d'hôtel de la très vénérable banques d'affaires Berthin-Schwartz, apprend son licenciement, il y voit l'occasion de réaliser son rêve de toujours : ouvrir un restaurant avec son meilleur ami Etienne. Pourtant, après 17ans de bons et loyaux services, la banque lui refuse tout appui financier. Julien décide alors de tirer profits des informations confidentielles dont usent ses employeurs, mais ces derniers le prennent en flagrant délit d'initiés et décident de lui jouer un tour machiavélique.

Thèmes totalement d’actualité : l’argent, la bourse, la crise, des gens modestes qui misent tout sur la bourse qui gagnent beaucoup avant de tout perdre, les banquiers pourris, …

On passe un bon moment, Gérard Lanvin est toujours aussi sympathique à regarder.

Quelques bonnes répliques le duo Lanvin-Darroussin fonctionne bien.

Comme on peut se douter tout se finit bien pour tout le monde sauf pour les méchants chefs d’entreprises malhonnêtes et manipulateurs…